Moment fort de cette  saison, le Chœur d’Oratorio de Lyon partage avec son public lyonnais des pièces très "françaises" et pourtant si différentes dans leurs couleurs vocales, avec une direction en duo.

- Les pièces a cappella composées par Philippe Forget pour le Chœur d’Oratorio de Lyon, dirigées par Catherine Molmerret. 

- Le Requiem de Duruflé, première œuvre chorale de l'organiste de renom marqué par la liturgie grégorienne, sous la direction de Philippe Forget.

Avec Yves Lafargue à l'orgue.

Eglise du St Sacrement à Lyon.

Le Chœur d’Oratorio de Lyon retrouve sa complicité avec le Quatuor Debussy pour un concert tissé autour des bandes-son de deux géants du cinéma : Emir Kusturica et Quentin Tarantino. Inutile de rappeler à quel point des films cultes comme Underground et Arizona Dream chez Kusturica, ou bien Pulp Fiction et Kill Bill chez Tarantino, ont marqué notre époque et notre imaginaire. Les deux cinéastes réalisent des longs métrages très différents mais ils possèdent un point commun : l’importance qu’ils donnent à la musique dans leur cinéma. Le Quatuor Debussy, reconnu pour sa capacité à s’ouvrir à de nouvelles esthétiques, se donnera comme défi de retranscrire l’univers complémentaire de ces deux cinéastes, en nous faisant voyager musicalement à travers ces chefs d’œuvres du 7e art. 

À Tournon.

Le Quatuor Debussy nous fait (re)découvrir toute la puissance et la modernité de ce compositeur hors normes, mort comme une rock star à 35 ans, dont l’œuvre impressionnante a embrassé tous les genres musicaux de son époque. Son Requiem sera présenté dans une forme aussi marquante pour les oreilles que pour les yeux. Aux cordes vocales du Chœur d'Oratorio de Lyon se frotteront celles des instruments: l’occasion d’une rencontre musicale au plus près de l’illustre compositeur, imaginée comme une ode aux plus belles voix. 

Au Radiant-Bellevue à Caluire. 

«Un opéra en robe d’ecclésiastique» : c’est en ces termes ironiques que le chef d’orchestre allemand Hans von Bülow qualifia le Requiem de Verdi. Verdi sublime le texte profondément poétique de la messe des morts catholique, traduit ses cris éperdus comme son espérance lumineuse, passe d’un solo éploré à des tuttis fracassants. Mais, au-delà de son apparence théâtrale, ce monument traduit une expression très personnelle de la foi et plonge l’auditeur dans une confrontation intime avec la vie et la mort. 

Le Chœur d’Oratorio de Lyon a rejoint Spirito et le Jeune Chœur Symphonique pour chanter cette merveilleuse partition avec l’Orchestre National de Lyon, sous la direction de la cheffe australienne Simone Young. 

À Lyon.

Le Chœur d’Oratorio de Lyon devient complice du Quatuor Debussy qui présente sa nouvelle création, tissée autour des bandes-son de deux géants du cinéma : Emir Kusturica et Quentin Tarantino. Inutile de rappeler à quel point des films cultes comme Underground et Arizona Dream chez Kusturica, ou bien Pulp Fiction et Kill Bill chez Tarantino, ont marqué notre époque et notre imaginaire. Les deux cinéastes réalisent des longs métrages très différents mais ils possèdent un point commun : l’importance qu’ils donnent à la musique dans leur cinéma. Le Quatuor Debussy, reconnu pour sa capacité à s’ouvrir à de nouvelles esthétiques, se donnera comme défi de retranscrire l’univers complémentaire de ces deux cinéastes, en nous faisant voyager musicalement à travers ces chefs d’œuvres du 7e art. 

À Genas, Caluire, Privas.

En résidence aux Échappées Belles, le Chœur d’Oratorio de Lyon invite les danseurs en formation auprès de la compagnie Hallet-Eghayan à partager une expérience de chant choral. Catherine Molmerret propose pour l’occasion un programme de pièces vocales a cappella qui visiteront plusieurs siècles d’histoire de la musique du moyen-âge à nos jours. Ce répertoire voyagera entre musique d’inspiration populaire et musique savante et soulignera les liens qui peuvent unir ces deux univers. 

Les étudiants danseurs ont bénéficié d’une initiation à la technique vocale avec Catherine Molmerret, puis ont intégré les répétitions du Chœur d’Oratorio de Lyon et ainsi découvert le travail des choristes.

Les danseurs ont partagé avec les choristes quelques pièces lors de ce concert de sortie de résidence, dans le cadre des Rendez-vous musicaux de l'école Hallet-Eghayan.

À Lyon.

"Lorsqu'ils veillent la nuit dans l'église de Notre-Dame de Montserrat, les pèlerins souhaitent parfois chanter et danser, et aussi le jour sur le parvis. Or en ce lieu ne doivent se chanter que des chansons chastes et pieuses. C'est pour ces raisons que nous en avons transcrites ci-dessus et en-dessous. Elles doivent donc être utilisées avec modestie, en prenant garde de ne pas perturber ceux qui sont plongés dans la prière ou dans la dévotion contemplative."

En miroir de ce monument de l'intense ferveur médiévale, le COL interprête Etonné, composé à son intention par Philippe Forget.

Avec un ensemble instrumental constitué d’étudiants du département de Musique Ancienne du Conservatoire National Supérieur de Lyon.

À Aubenas.

Jean Pierre Leguay, né à Dijon en 1939, est un organiste, pédagogue, improvisateur et compositeur extrêmement prolifique, salué à l'international. Il a composé cette messe à la demande de l'association "Musique sacrée à Notre-Dame de Paris", et elle y fut créée en 2000 sous la direction de Nicole Corti, avec la Maîtrise de la Cathédrale et le compositeur à l'orgue. L'enregistrement qui en est issu s'est vu couronné de  nombreux prix.

Cette œuvre magistrale pour soprano solo, chœur mixte, orgue et ensemble instrumental, fut donnée  avec le Chœur d’Oratorio de Lyon et le Jeune Chœur Symphonique, ainsi qu'un ensemble instrumental du CNSMD de Lyon, sous la direction de Nicole Corti. 

À Lyon.

Œuvre gigantesque, la 2ème symphonie de Gustav Malher, dite « Résurrection », fut composée entre 1888 et 1894. Demandant des moyens orchestraux proprement colossaux, elle retrace en cinq mouvements les émotions d'une vie terrestre. Le finale voit son apothéose avec l'entrée du chœur et de l'orgue, emmenant l'auditeur vers l'idée de la résurrection. 

Le Chœur d’Oratorio de Lyon a rejoint Spirito et le Jeune Chœur Symphonique pour chanter cette merveilleuse partition avec l’Orchestre National de Lyon, sous la direction de son chef Nikolaj Szeps-Znaider. 

À Lyon.

"Lorsqu'ils veillent la nuit dans l'église de Notre-Dame de Montserrat, les pèlerins souhaitent parfois chanter et danser, et aussi le jour sur le parvis. Or en ce lieu ne doivent se chanter que des chansons chastes et pieuses. C'est pour ces raisons que nous en avons transcrites ci-dessus et en-dessous. Elles doivent donc être utilisées avec modestie, en prenant garde de ne pas perturber ceux qui sont plongés dans la prière ou dans la dévotion contemplative."

En miroir de ce monument de l'intense ferveur médiévale, le COL interprétera Etonné, composé à son intention par Philippe Forget.

Le choeur est accompagné par des étudiants du département de Musique Ancienne du Conservatoire National Supérieur de Lyon.

Juin 2021, église Saint-Germain de Cogny (Beaujolais). 

En ce début d'année le Quatuor Debussy a conçu un hommage à Mozart. Aux cordes vocales du Chœur d'Oratorio de Lyon se frotteront celles des instruments : l’occasion d’une rencontre musicale au plus près de l’illustre compositeur, imaginée comme une ode aux plus belles voix. Un programme qui touchera du doigt l’excellence avec une double interprétation du mythique Requiem, dont l’impact ne se dément pas au fil des siècles. Son intensité expressive sait toucher les publics de chacune des époques qu’il a traversées.

Radiant-Bellevue à Caluire.

La comédie musicale de Meredith Willson va connaître une troisième vie cet automne, tant à New York avec Hugh Jackman, qu'à Lyon au Théâtre de la Croix-Rousse, où Jean Lacornerie proposera sa version de la comédie musicale iconique créée en 1957 au Majestic Theatre de Broadway. 

Rappelons qu’en 1957 The Music Man l’avait emporté aux Tony Awards sur West Side Story pour le titre de « Meilleure comédie musicale de l'année », et l'album original reçut un Grammy Award. Le succès engendra un film en 1962.

Avec l'Orchestre et la Maîtrise de l'Opéra de Lyon. 

Direction musicale : Karine Locatelli

Mise en scène : Jean Lacornerie

Écho, double chœur, magie du contrepoint et science de l’harmonie : ces « Chorals buissonniers » révèlent des partitions de grands polyphonistes de la Renaissance tout comme de fins auteurs contemporains, mélangeant les accents d’une vive ferveur, l’imitation de la nature et les clins d’œil de la comédie.

En coproduction avec la Villa Hispánica

21 septembre 2019, église Saint-Germain de Cogny (Beaujolais). 

En 1791, dans une Europe troublée par la Révolution française, dans cette Autriche qui se prépare à entrer en guerre et peu favorable aux arts, Mozart reçoit une commande du Comte Von Walsegg pour un Requiem dédié à sa jeune épouse récemment décédée. Criblé de dettes et fort malade depuis un an déjà, alors qu’il termine la Flûte Enchantée et qu’il a déjà composé au cours de cette même année La Clémence de Titus, son Concerto pour clarinette en la majeur et la Cantate maçonnique K623 entre autres, Mozart s’attelle à ce qui sera sa dernière grande œuvre ; il n’aura pas le temps de la composer entièrement et devra confier à plusieurs de ses élèves le soin de la terminer selon ses directives.

Centre Benjamin Franklin à Villeurbanne.

L’œuvre, écrite en 1785 à la demande de l’évêché de Cadix pour la période du Carême, fut composée tout d’abord dans une version symphonique suivie de trois autres, l’une pour quatuor, l’autre pour pianoforte et enfin la dernière pour chœur (1795-1796).

La version pour quatuor à cordes, chœur et solistes que nous vous proposons, allie la grandeur apportée par le chœur à la pureté du quatuor. Elle traduit parfaitement l’extrême variété d’émotions du Christ durant son long et douloureux chemin de croix et accompagne le progressif abandon de son enveloppe humaine.

Chapelle du lycée St Louis-St Bruno,  Lyon 1er

Le Chœur d’Oratorio de Lyon s’associera à cette occasion au Quatuor Bergen dans le cadre des Rendez-vous de Musique Ancienne.